Jaco Pastorius : Différence entre versions

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John Francis Anthony Pastorius III, dit '''Jaco Pastorius''', est un bassiste de jazz américain, né le 1<sup>er</sup> décembre 1951 à Norristown (États-Unis) et mort le 21 septembre 1987 à Fort Lauderdale (États-Unis).
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John Francis Anthony Pastorius III, dit '''Jaco Pastorius''', est un bassiste de [[Thèmes#Le jazz|jazz]] américain, né le 1<sup>er</sup> décembre 1951 à Norristown (États-Unis) et mort le 21 septembre 1987 à Fort Lauderdale (États-Unis).
  
 
== Liens avec Marc-Édouard Nabe ==
 
== Liens avec Marc-Édouard Nabe ==
[[Marc-Édouard Nabe]] a vu en juillet 1983 dans une « jam » à Nice, où plein de musiciens se succédaient (dont [[Marcel Zannini|Zanini]] et [[François Rilhac|Rilhac]]), Jaco Pastorius. Mais c’est plus tard qu’il s’intéressera à ce bassiste électrique unique. À l’occasion des 20 ans de la mort de Pastorius, Nabe publie en septembre 2007 dans ''[[Bibliographie de Marc-Édouard Nabe#Jazzman|Jazzman]]'' un article intitulé « [[Pastorius à mort]] » :
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[[Marc-Édouard Nabe]] a vu en juillet 1983 dans une « jam » à Nice, où plein de musiciens se succédaient (dont [[Marcel Zannini|Zanini]] et [[François Rilhac|Rilhac]]), Jaco Pastorius. Mais c’est plus tard qu’il s’intéressera à ce bassiste électrique unique. À l’occasion des 20 ans de la [[Thèmes#La mort|mort]] de Pastorius, Nabe publie en septembre 2007 dans ''[[Bibliographie de Marc-Édouard Nabe#Jazzman|Jazzman]]'' un article intitulé « [[Pastorius à mort]] » :
:« Quelqu’un frappe à la porte du Paradis pour qu’on le laisse sortir. Il s’ennuie trop là-haut depuis vingt ans. Il ne se passe pas grand chose chez les anges assoupis sur leurs nuages. Chez les vivants, il s’en passe encore moins, mais Jaco Pastorius — car c’est de lui qu’il s’agit — s’obstine à vouloir revenir jouer ici-bas. Jouer de la basse, bien sûr, mais aussi du piano, de la batterie, chanter, arranger, mélanger des rythmes, inventer de nouvelles mélodies, travailler son son...<ref>Marc-Édouard Nabe, « Pastorius à mort », ''Jazzman'' n°138, septembre 2007.</ref> »
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:« Quelqu’un frappe à la porte du Paradis pour qu’on le laisse sortir. Il s’ennuie trop là-haut depuis vingt ans. Il ne se passe pas grand chose chez les anges assoupis sur leurs nuages. Chez les vivants, il s’en passe encore moins, mais Jaco Pastorius — car c’est de lui qu’il s’agit — s’obstine à vouloir revenir jouer ici-bas. Jouer de la basse, bien sûr, mais aussi du piano, de la batterie, chanter, arranger, mélanger des rythmes, inventer de nouvelles mélodies, travailler son son...<ref>[[Marc-Édouard Nabe]], « Pastorius à mort », ''[[Bibliographie de Marc-Édouard Nabe#Jazzman|Jazzman]]'' n°138, septembre 2007.</ref> »
  
 
== Intégration littéraire ==
 
== Intégration littéraire ==
* « [[Pastorius à mort]] », ''Jazzman'' n°138, septembre 2007 <small>(Inédit en volume)</small>
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* « [[Pastorius à mort]] », ''[[Bibliographie de Marc-Édouard Nabe#Jazzman|Jazzman]]'' n°138, septembre 2007 <small>([[:Catégorie:Textes non repris en volume|Inédit en volume]])</small>
  
 
== Notes et références ==
 
== Notes et références ==

Version du 29 novembre 2020 à 19:30

Jaco Pastorius

John Francis Anthony Pastorius III, dit Jaco Pastorius, est un bassiste de jazz américain, né le 1er décembre 1951 à Norristown (États-Unis) et mort le 21 septembre 1987 à Fort Lauderdale (États-Unis).

Liens avec Marc-Édouard Nabe

Marc-Édouard Nabe a vu en juillet 1983 dans une « jam » à Nice, où plein de musiciens se succédaient (dont Zanini et Rilhac), Jaco Pastorius. Mais c’est plus tard qu’il s’intéressera à ce bassiste électrique unique. À l’occasion des 20 ans de la mort de Pastorius, Nabe publie en septembre 2007 dans Jazzman un article intitulé « Pastorius à mort » :

« Quelqu’un frappe à la porte du Paradis pour qu’on le laisse sortir. Il s’ennuie trop là-haut depuis vingt ans. Il ne se passe pas grand chose chez les anges assoupis sur leurs nuages. Chez les vivants, il s’en passe encore moins, mais Jaco Pastorius — car c’est de lui qu’il s’agit — s’obstine à vouloir revenir jouer ici-bas. Jouer de la basse, bien sûr, mais aussi du piano, de la batterie, chanter, arranger, mélanger des rythmes, inventer de nouvelles mélodies, travailler son son...[1] »

Intégration littéraire

Notes et références

  1. Marc-Édouard Nabe, « Pastorius à mort », Jazzman n°138, septembre 2007.