Amandine Maudet

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Amandine Maudet

Amandine Maudet est une comédienne et attachée de presse née en 1978.

Liens avec Marc-Édouard Nabe

En 2009, Amandine Maudet rencontre l’auteur du Vingt-septième Livre au Dilettante, chez Dominique Gaultier où elle est attachée de presse jusqu’à fin mars 2010[1]. Bonne connaisseuse du petit milieu littéraire germano-pratin, et complice de Nabe, elle sera un excellent agent d’informations sur certains personnages pour l’auteur des Porcs. C’est Amandine Maudet également qui accompagnera Nabe lors du tournage de Café littéraire en février 2009. Après avoir quitté le Dilettante, elle rejoint, sur les recommandations de Marc-Édouard Nabe, les Éditions Léo Scheer. Elle apparaît dans le premier tome des Porcs (2017).

Citations

Nabe sur Maudet

  • « Celle qui ne laissait personne de glace (surtout pas Besson que j’avais surpris un jour dans les locaux du Dilettante en train d’essayer de la draguer avant de renoncer : “Tu as raison, je me suis trompé – le Gémeaux est erroné –, ce n’est pas une "bessonnienne", c’est une "nabienne"”), c’était la nouvelle attachée de presse de Gaultier, Amandine Maudet...
C’est Blanrue qui l’avait connue le premier, chez Scali, son affreux éditeur de soupe pop. Au téléphone, le gros me dit :
— C’est une petite minette qui se la jouait au début parce qu’elle était actrice et qu’elle avait figuré dans trois téléfilms, et qui finit attachée de presse... Elle est avec un Feuj, c’est comme ça qu’elle est entrée chez Bertil ! 
Bertil ? Blanrue appelait Scali “Bertil” ? C’est de sa bouche à elle (qu’elle avait très belle, même si c’était son cul qu’on regardait d’abord) que j’apprendrais la suite : Blanrue avait branché l’ignoble Moix sur elle. Moix l’avait appelée pour des “essais dans une heure chez moi”, et quand elle lui avait dit qu’elle n’était pas libre et qu’elle remit ça à “dans dix jours”, le réal’ de Podium était devenu insultant et hystérique. Une de plus avec qui il s’était comporté comme un connard...
Il y aurait eu tant de choses à raconter sur Moix et les femmes ! “Moix hait les femmes !” Yann savait très bien qu’il était nul en ce domaine, mais il continuait, râteaux dans la gueule sur râteaux dans la gueule. [...] J’appelai ensuite Amandine au Dilettante, toujours sympa, et lui transmis “les amitiés” de Blanrue ; elle me dit qu’il fallait me méfier de lui, de son double-jeu, car malgré ses moqueries complices avec moi, il n’était pas du tout fâché contre Moix, ils étaient toujours en contact... » (Chapitre CCXXIV « Paul-Éric Blanrue, historien à la mords-moi-le-Moix », Les Porcs tome 1, 2017, pp. 700-701)
  • « Amandine du Dilettante me réveilla tôt ce matin-là (par téléphone, hélas !) pour m’annoncer, toute joyeuse, qu’elle m’accompagnerait. Qu’est-ce que j’en avais à foutre ? Surtout que j’avais la crève... Oh, je ne toussais pas à la Proust ou à la Modigliani, mais quand même ! Je partis au Moulin-Rouge enveloppé dans mon écharpe de Turquie, et retrouvai donc mon attachée de presse dans le hall, en bottes rouges – qui, lorsqu’elle les tenaient serrées, faisaient comme un long socle à son sublime cul –, au milieu des fresques d’Henri Mahé. » (Chapitre CCXXXIX, « Le sublime cul d’Amandine et moi », Les Porcs tome 1, 2017, p. 743)

Intégration littéraire

Notes et références

  1. « Bonjour Marc-Édouard,
    j'ai pensé que nous déjeunerions plus tranquillement une fois mon contrat dilettantin honoré. Que pensez-vous du mercredi 7 avril ? Si ça vous va, on part là-dessus. Je trouverai une idée de restaurant d'ici là !
    bises,
    Amandine
    P.S : vous pouvez me répondre sur mon mail perso, vu que c'est la dernière fois que j'utilise celui-ci. » (mail d’Amandine Maudet à Marc-Édouard Nabe, 24 mars 2010)