My wiki:Éphéméride/17 août : Différence entre versions

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1932 : Naissance de [[Jean-Jacques Sempé]], [[:Catégorie:Dessinateurs|dessinateur]] d'humour français très doué et personnel, mais beaucoup trop mièvre pour [[Marc-Édouard Nabe|Nabe]]. On est loin de [[Bosc]] et de [[Chaval]], deux des idoles de Sempé. Rencontré par [[Marc-Édouard Nabe|Nabe]] et évoqué dans son ''[[:Catégorie:Journal intime|Journal]]'' (voir ''[[Inch'Allah]]'', pp. 2351-2352).<br>
 
1932 : Naissance de [[Jean-Jacques Sempé]], [[:Catégorie:Dessinateurs|dessinateur]] d'humour français très doué et personnel, mais beaucoup trop mièvre pour [[Marc-Édouard Nabe|Nabe]]. On est loin de [[Bosc]] et de [[Chaval]], deux des idoles de Sempé. Rencontré par [[Marc-Édouard Nabe|Nabe]] et évoqué dans son ''[[:Catégorie:Journal intime|Journal]]'' (voir ''[[Inch'Allah]]'', pp. 2351-2352).<br>
 
1942 : Naissance de [[Michel Creton]], [[:Catégorie:Acteurs|acteur]] français employé plutôt dans des seconds rôles un peu en biais de hâbleurs vulgos et très légèrement glauques… A joué dans des films très divers comme dans ''Max et les ferrailleurs'' de [[Claude Sautet]] (1970), ou ''Armaguedon'' d'[[Alain Jessua]] (1976), ou encore dans ''Les Morfalous'' d’[[Henri Verneuil]] avec [[Jean-Paul Belmondo|Belmondo]], mais curieusement, son meilleur rôle au cinéma est celui de Bourseault, le GO du club Méditerranée dans ''Les Bronzés'' de [[Patrice Leconte]] (1978) : il y campe le seul personnage dramatique du film gaudriolesque car il meurt à un moment donné et c’est [[Luis Rego]], excellent, qui vient annoncer la nouvelle : il a été piqué par une raie et a coulé. Grâce à Creton, la farce tourne au tragique mais pas assez longtemps car l'incompétence de Leconte a fait que cette mort est très vite évacuée, ce qui est une erreur scénaristique et de mise en scène impardonnable. Il y avait tout un enterrement à faire de Bourseault, qui aurait pu, en plus, être l'occasion de nouvelles scènes comiques. Raté. [[Marc-Édouard Nabe|Nabe]] en avait parlé à Michel Creton lui-même un jour où il l'avait croisé sur le trottoir du boulevard Saint-Michel devant le Petit Journal alors que les musiciens prenaient leur pause. Nabe s'était présenté et avait invité l’acteur à entrer dans le club de jazz, et lui avait présenté [[Marcel Zannini|son père]]. Creton avait été étonné par le sérieux avec lequel l'écrivain avait pris son rôle dans ''Les Bronzés'', et encore plus quand Nabe le félicita pour une adaptation d'une pièce très peu connue de [[Paul Claudel]] qui s'appelle ''Le ravissement de Scapin'' et qu'il avait vue diffusée à la télévision et où Michel Creton était étincelant. A noter également : avec [[Jacques Franz]], [[Michel Creton]], comme par hasard à dire aujourd'hui, était le second doubleur professionnel en français de [[Robert De Niro]].<br>
 
1942 : Naissance de [[Michel Creton]], [[:Catégorie:Acteurs|acteur]] français employé plutôt dans des seconds rôles un peu en biais de hâbleurs vulgos et très légèrement glauques… A joué dans des films très divers comme dans ''Max et les ferrailleurs'' de [[Claude Sautet]] (1970), ou ''Armaguedon'' d'[[Alain Jessua]] (1976), ou encore dans ''Les Morfalous'' d’[[Henri Verneuil]] avec [[Jean-Paul Belmondo|Belmondo]], mais curieusement, son meilleur rôle au cinéma est celui de Bourseault, le GO du club Méditerranée dans ''Les Bronzés'' de [[Patrice Leconte]] (1978) : il y campe le seul personnage dramatique du film gaudriolesque car il meurt à un moment donné et c’est [[Luis Rego]], excellent, qui vient annoncer la nouvelle : il a été piqué par une raie et a coulé. Grâce à Creton, la farce tourne au tragique mais pas assez longtemps car l'incompétence de Leconte a fait que cette mort est très vite évacuée, ce qui est une erreur scénaristique et de mise en scène impardonnable. Il y avait tout un enterrement à faire de Bourseault, qui aurait pu, en plus, être l'occasion de nouvelles scènes comiques. Raté. [[Marc-Édouard Nabe|Nabe]] en avait parlé à Michel Creton lui-même un jour où il l'avait croisé sur le trottoir du boulevard Saint-Michel devant le Petit Journal alors que les musiciens prenaient leur pause. Nabe s'était présenté et avait invité l’acteur à entrer dans le club de jazz, et lui avait présenté [[Marcel Zannini|son père]]. Creton avait été étonné par le sérieux avec lequel l'écrivain avait pris son rôle dans ''Les Bronzés'', et encore plus quand Nabe le félicita pour une adaptation d'une pièce très peu connue de [[Paul Claudel]] qui s'appelle ''Le ravissement de Scapin'' et qu'il avait vue diffusée à la télévision et où Michel Creton était étincelant. A noter également : avec [[Jacques Franz]], [[Michel Creton]], comme par hasard à dire aujourd'hui, était le second doubleur professionnel en français de [[Robert De Niro]].<br>
1943 : Naissance de [[Robert De Niro]], [[:Catégorie:Acteurs|acteur]] américain (père italien catholique ; mère anglaise protestante). Il n'y a plus que deux grands acteurs vivants sur cette terre : [[Gérard Depardieu]] et [[Robert De Niro]]. Tous les deux, quoi qu'ils fassent, dans des chefs-d'œuvre comme dans de grands films, bons films, moyens films, navets, daubes, série, B, Z, sont toujours grandioses. Pourquoi ? Parce qu’en gros, leur force et leur grandeur viennent de ce qu'ils jouent ''vraiment'' les personnages. Ça a l'air simple de le dire comme ça, mais en ce qui concerne De Niro, le prodige tient au fait que lorsque on voit sur l'écran De Niro, on le reconnait bien sûr, mais vaguement tant il est totalement absorbé par le personnage qu'il incarne. Ce sont des artistes et des hommes au premier degré comme on n'en fait plus. Inutile de citer la filmographie de De Niro si ce n'est pour dégager ici quelques titres où « Bob » a été particulièrement apprécié par [[Marc-Édouard Nabe|Nabe]] : ''Le Parrain 2'' de [[Francis Ford Coppola]] (1974) ; ''Taxi Driver'' de [[Martin Scorsese]] (1976) ; ''1900'' de [[Bernardo Bertolucci]] (1976) ; ''Le Dernier Nabab'' (1976) ; ''Raging Bull'' de [[Martin Scorsese]] (1980) ; ''La Valse des pantins'' de [[Martin Scorsese]] (1983) ; ''Les Affranchis'' de [[Martin Scorsese]] (1990) ; ''Les Nerfs à vif'' de [[Martin Scorsese]] (1991) ; ''Il était une fois le Bronx'' de lui (1993) ; ''Frankenstein'' de [[Kenneth Branagh]] (1994) ;  ''Casino'' de [[Martin Scorsese]] (1995) ; ''Le Fan'' (''The Fan'') de [[Tony Scott]] (1996) ; ''Dirty Papy'' de [[Dan Mazer]] (2016) ; ''The Comedian'' de [[Taylor Hackford]] (2016) ; ''The Irishman'' de [[Martin Scorsese]] (2019)… À noter : celui qui a doublé plus de 70 films de De Niro en français en près de 35 ans s'appelait [[Jacques Frantz]] (mort aujourd'hui) et [[Marc-Édouard Nabe|Nabe]] l’a rencontré en 2007, notamment pour le questionner sur certains passages traduits dans celui qui est peut-être son film préféré de De Niro : ''Cape Fear'' de [[Martin Scorsese|Scorsese]] (1991). Évoqué dans ''[[Alain Zannini]]'' (2002), pp. 218-219.<br>
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1943 : Naissance de [[Robert De Niro]], [[:Catégorie:Acteurs|acteur]] américain (père italien catholique ; mère anglaise protestante). Il n'y a plus que deux grands acteurs vivants sur cette terre : [[Gérard Depardieu]] et [[Robert De Niro]]. Tous les deux, quoi qu'ils fassent, dans des chefs-d'œuvre comme dans de grands films, bons films, moyens films, navets, daubes, série, B, Z, sont toujours grandioses. Pourquoi ? Parce qu’en gros, leur force et leur grandeur viennent de ce qu'ils jouent ''vraiment'' les personnages. Ça a l'air simple de le dire comme ça, mais en ce qui concerne De Niro, le prodige tient au fait que lorsque on voit sur l'écran De Niro, on le reconnait bien sûr, mais vaguement tant il est totalement absorbé par le personnage qu'il incarne. Ce sont des artistes et des hommes au premier degré comme on n'en fait plus. Inutile de citer la filmographie de De Niro si ce n'est pour dégager ici quelques titres où « Bob » a été particulièrement apprécié par [[Marc-Édouard Nabe|Nabe]] : ''Le Parrain 2'' de [[Francis Ford Coppola]] (1974) ; ''Taxi Driver'' de [[Martin Scorsese]] (1976) ; ''1900'' de [[Bernardo Bertolucci]] (1976) ; ''Le Dernier Nabab'' de [[Elia Kazan]] (1976) ; ''Raging Bull'' de [[Martin Scorsese]] (1980) ; ''La Valse des pantins'' de [[Martin Scorsese]] (1983) ; ''Les Affranchis'' de [[Martin Scorsese]] (1990) ; ''Les Nerfs à vif'' de [[Martin Scorsese]] (1991) ; ''Il était une fois le Bronx'' de lui (1993) ; ''Frankenstein'' de [[Kenneth Branagh]] (1994) ;  ''Casino'' de [[Martin Scorsese]] (1995) ; ''Le Fan'' (''The Fan'') de [[Tony Scott]] (1996) ; ''Dirty Papy'' de [[Dan Mazer]] (2016) ; ''The Comedian'' de [[Taylor Hackford]] (2016) ; ''The Irishman'' de [[Martin Scorsese]] (2019)… À noter : celui qui a doublé plus de 70 films de De Niro en français en près de 35 ans s'appelait [[Jacques Frantz]] (mort aujourd'hui) et [[Marc-Édouard Nabe|Nabe]] l’a rencontré en 2007, notamment pour le questionner sur certains passages traduits dans celui qui est peut-être son film préféré de De Niro : ''Cape Fear'' de [[Martin Scorsese|Scorsese]] (1991). Évoqué dans ''[[Alain Zannini]]'' (2002), pp. 218-219.<br>
 
1948 : Naissance de [[Allain Bougrain-Dubourg]], [[:Catégorie:Journalistes|journaliste]], producteur, réalisateur de télévision et militant animaliste français. Un saint. Peut-être un peu trop « people » mais un saint quand même pour les animaux. Que les poulets déplumés de l'écologie véllélitaire élevés en batterie politicarde en prennent de la graine !<br>
 
1948 : Naissance de [[Allain Bougrain-Dubourg]], [[:Catégorie:Journalistes|journaliste]], producteur, réalisateur de télévision et militant animaliste français. Un saint. Peut-être un peu trop « people » mais un saint quand même pour les animaux. Que les poulets déplumés de l'écologie véllélitaire élevés en batterie politicarde en prennent de la graine !<br>
 
1951 : Mort de [[Louis Jouvet]], [[:Catégorie:Acteurs|comédien]] français, roi au théâtre, mais empereur au [[Thèmes#Le cinéma|cinéma]]. Tellement [[Molière|moliéresque]] qu'il est mort comme on fantasme [[Molière]] de l'avoir été : dans un théâtre. Bizarre, bizarre...<br>
 
1951 : Mort de [[Louis Jouvet]], [[:Catégorie:Acteurs|comédien]] français, roi au théâtre, mais empereur au [[Thèmes#Le cinéma|cinéma]]. Tellement [[Molière|moliéresque]] qu'il est mort comme on fantasme [[Molière]] de l'avoir été : dans un théâtre. Bizarre, bizarre...<br>

Version actuelle datée du 17 août 2023 à 21:48

1887 : Naissance du leader panafricain Marcus Garvey.
1893 : Naissance de l’actrice Mae West (évoquée par Nabe dans Nabe’s Dream).
1907 : Naissance de Roger Peyrefitte, écrivain et historien français sans aucun talent réel, pédé comme un sac en peau de foc, ridicule mais bien venimeux et marrant. Une usine à ragots (souvent vrais). Rencontré et évoqué par Nabe dans son Journal (voir Tohu-Bohu, 1993, p. 1343) et dans Les Porcs 2, et bientôt dans Nabe's News.
1926 : Naissance de Jean Poiret, comédien français de théâtre et de cinéma. D'une intelligence et d'une inventivité constantes. Meilleur encore que son « frère » Michel Serrault en interviews. Éblouissant comme un soleil, même dans des pièces moyennes comme Le Canard à l'orange (1979) ou La Cage aux folles (1973). Improvisateur de génie à la télé. Deux exemples : 1) Montant sur scène pour recevoir un César, Poiret frappe une note au piano de l'orchestre de Claude Bolling pour « accorder » son merci à venir… 2) Reçu à la fin d’un JT, il fait semblant de râler contre le présentateur Daniel Bilalian parce que, dit-il, on lui avait promis « 3 minettes sur Antenne 2 » et qu’elles ne sont pas là, et que ce n'est pas lui qui a mal compris « 3 minutes ». Dans Les Grands Enfants (émission que le jeune Zanini adorait dans les années 60), Jean Poiret était le meilleur avec Francis Blanche et Jean Yanne. Malheureusement jamais rencontré par Nabe.
1932 : Naissance de Jean-Jacques Sempé, dessinateur d'humour français très doué et personnel, mais beaucoup trop mièvre pour Nabe. On est loin de Bosc et de Chaval, deux des idoles de Sempé. Rencontré par Nabe et évoqué dans son Journal (voir Inch'Allah, pp. 2351-2352).
1942 : Naissance de Michel Creton, acteur français employé plutôt dans des seconds rôles un peu en biais de hâbleurs vulgos et très légèrement glauques… A joué dans des films très divers comme dans Max et les ferrailleurs de Claude Sautet (1970), ou Armaguedon d'Alain Jessua (1976), ou encore dans Les Morfalous d’Henri Verneuil avec Belmondo, mais curieusement, son meilleur rôle au cinéma est celui de Bourseault, le GO du club Méditerranée dans Les Bronzés de Patrice Leconte (1978) : il y campe le seul personnage dramatique du film gaudriolesque car il meurt à un moment donné et c’est Luis Rego, excellent, qui vient annoncer la nouvelle : il a été piqué par une raie et a coulé. Grâce à Creton, la farce tourne au tragique mais pas assez longtemps car l'incompétence de Leconte a fait que cette mort est très vite évacuée, ce qui est une erreur scénaristique et de mise en scène impardonnable. Il y avait tout un enterrement à faire de Bourseault, qui aurait pu, en plus, être l'occasion de nouvelles scènes comiques. Raté. Nabe en avait parlé à Michel Creton lui-même un jour où il l'avait croisé sur le trottoir du boulevard Saint-Michel devant le Petit Journal alors que les musiciens prenaient leur pause. Nabe s'était présenté et avait invité l’acteur à entrer dans le club de jazz, et lui avait présenté son père. Creton avait été étonné par le sérieux avec lequel l'écrivain avait pris son rôle dans Les Bronzés, et encore plus quand Nabe le félicita pour une adaptation d'une pièce très peu connue de Paul Claudel qui s'appelle Le ravissement de Scapin et qu'il avait vue diffusée à la télévision et où Michel Creton était étincelant. A noter également : avec Jacques Franz, Michel Creton, comme par hasard à dire aujourd'hui, était le second doubleur professionnel en français de Robert De Niro.
1943 : Naissance de Robert De Niro, acteur américain (père italien catholique ; mère anglaise protestante). Il n'y a plus que deux grands acteurs vivants sur cette terre : Gérard Depardieu et Robert De Niro. Tous les deux, quoi qu'ils fassent, dans des chefs-d'œuvre comme dans de grands films, bons films, moyens films, navets, daubes, série, B, Z, sont toujours grandioses. Pourquoi ? Parce qu’en gros, leur force et leur grandeur viennent de ce qu'ils jouent vraiment les personnages. Ça a l'air simple de le dire comme ça, mais en ce qui concerne De Niro, le prodige tient au fait que lorsque on voit sur l'écran De Niro, on le reconnait bien sûr, mais vaguement tant il est totalement absorbé par le personnage qu'il incarne. Ce sont des artistes et des hommes au premier degré comme on n'en fait plus. Inutile de citer la filmographie de De Niro si ce n'est pour dégager ici quelques titres où « Bob » a été particulièrement apprécié par Nabe : Le Parrain 2 de Francis Ford Coppola (1974) ; Taxi Driver de Martin Scorsese (1976) ; 1900 de Bernardo Bertolucci (1976) ; Le Dernier Nabab de Elia Kazan (1976) ; Raging Bull de Martin Scorsese (1980) ; La Valse des pantins de Martin Scorsese (1983) ; Les Affranchis de Martin Scorsese (1990) ; Les Nerfs à vif de Martin Scorsese (1991) ; Il était une fois le Bronx de lui (1993) ; Frankenstein de Kenneth Branagh (1994) ; Casino de Martin Scorsese (1995) ; Le Fan (The Fan) de Tony Scott (1996) ; Dirty Papy de Dan Mazer (2016) ; The Comedian de Taylor Hackford (2016) ; The Irishman de Martin Scorsese (2019)… À noter : celui qui a doublé plus de 70 films de De Niro en français en près de 35 ans s'appelait Jacques Frantz (mort aujourd'hui) et Nabe l’a rencontré en 2007, notamment pour le questionner sur certains passages traduits dans celui qui est peut-être son film préféré de De Niro : Cape Fear de Scorsese (1991). Évoqué dans Alain Zannini (2002), pp. 218-219.
1948 : Naissance de Allain Bougrain-Dubourg, journaliste, producteur, réalisateur de télévision et militant animaliste français. Un saint. Peut-être un peu trop « people » mais un saint quand même pour les animaux. Que les poulets déplumés de l'écologie véllélitaire élevés en batterie politicarde en prennent de la graine !
1951 : Mort de Louis Jouvet, comédien français, roi au théâtre, mais empereur au cinéma. Tellement moliéresque qu'il est mort comme on fantasme Molière de l'avoir été : dans un théâtre. Bizarre, bizarre...
1955 : Mort de Fernand Léger, peintre français gigantesque et dessinateur au trait divin. Perte considérable pour la vraie peinture monumentale de chevalet, d'une puissance, d'un volume et d'une fraîcheur incomparables au XXe siècle.
1959 : Sortie de l'album Kind of Blue de Miles Davis.
1973 : Mort du compositeur Jean Barraqué.
1984 : Nabe et Hélène rencontrent Bertrand Tavernier chez Francis Paudras.
1986 : Nabe discute de la descendance d’Abraham avec Jean, le frère d’Hélène.
1987 : Mort de Rudolf Hess (évoquée par Nabe dans Inch'Allah, 1996).
2006 : Mort de Bernard Rapp, journaliste de télé français, tête à claque du PAF des années 80-90. Mauvais goût très sûr, se prenait pour un Anglais chic alors que c'était un boucher vulgaire. A produit et animé des émissions de camaraderie et de bonne humeur forcées (comme L'Assiette anglaise de 1987 à 1989 avec ce con de Jean Teulé), mais Rapp a tenu aussi les rennes de deux émissions strictement littéraires, copiées sur celles de Bernard Pivot : Caractères (de 1990 à 1992) et Jamais sans mon livre (de 1993 à 1994) dans lesquelles jamais en 4 ans, il n'a été foutu d'inviter Nabe à présenter ses livres.
2014 : Mort de Pierre Vassiliu, chanteur. Tristesse chez les Zanini.