My wiki:Éphéméride/4 octobre : Différence entre versions

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1669 : Mort de [[Rembrandt]], [[:Catégorie:Peintres|peintre]] néerlandais.<br>1895 : Naissance de l’[[:Catégorie:Acteurs|acteur]] et [[:Catégorie:Réalisateurs|réalisateur]] [[Buster Keaton]].<br>
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1529 : Dernier jour du Colloque de Marbourg, qui avait commencé le 1<sup>er</sup> octobre au château de Marbourg (Allemagne). Réunion théologique organisée par Philippe I<sup>er</sup> de Hesse, magnanime landgrave qui kiffait [[Martin Luther]] depuis qu’il l’avait rencontré ado. C’est à lui que Hesse doit sa conversion en 1524 au protestantisme. Par ce colloque, Hesse espérait unir toutes les forces réformées dans une alliance, plutôt politique que religieuse, pour vaincre les ennemis catholiques. Les grandes stars du protestantisme étaient là : [[Martin Luther|Luther]], [[Brenz]], [[Andreas Osiander|Osiander]] et [[Philippe Melanchton|Melanchton]] dans un premier groupe et [[Ulrich Zwingli|Zwingli]] et [[Œcolampade]], dans le second. L'objectif était de discuter âprement un « détail » de l’Histoire de la religion chrétienne afin de trouver une conciliation entre les partisans de la présence effective du corps et du sang du [[Jésus-Christ|Christ]] lors de la Cène et ceux qui s’en tenaient à n'y voir que des symboles de son sacrifice sous forme de vin et de pain. Résultat : match nul. Une seconde rencontre entre les deux équipes aura lieu l'année suivante, en 1530, sous le nom de « Diète d'Augsbourg ».<br>
1903 : Mort de l’[[:Catégorie:Écrivains|écrivain]] [[Otto Weininger]].<br>
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1638 : Bataille de Wittstock entre Suédois et Allemands (victoire : Suédois).<br>
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1669 : Mort du [[:Catégorie:Peintres|peintre]] [[Rembrandt]].<br>
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1693 : Bataille de La Marsaille entre Français et Espagnols (victoire : Français).<br>
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1777 : Bataille de Germantown entre Américains et Anglais (victoire : Anglais).<br>
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1814 : Naissance de [[Jean-François Millet]], [[:Catégorie:Peintres|peintre]] français de l’École de Barbizon. Il serait resté considéré comme très mineur, en tout cas d'une facture primaire, et d’un univers extrêmement restreint, celui de paysans montrés à la tâche dans des crépuscules ou aurores bibliques, s’il n'avait pas trouvé sur sa route posthume d'abord l'admiration picturale de [[Vincent Van Gogh]] qui l’a « remaké » à de nombreuses reprises (il fallait voir l'exposition « Van Gogh au Borinage » à Mons en 2015), et plus tard celle de [[Salvador Dalí]] fasciné par Millet et en tirant une substantifique moelle métaphysique, jusqu'à faire de ''L'Angélus'' du Barbizonnais réaliste un mythe érotique, morbide, catholique et transcendantal. Jamais Millet avec ses semeurs, vanneurs, et autres glaneuses, n'aurait pu imaginer inspirer à la fois une touche aussi flamboyante que celle de Van Gogh et un esprit aussi délirant que celui de [[Salvador Dalí|Dalí]].<br>
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1895 : Naissance de l’[[:Catégorie:Acteurs|acteur]] et [[:Catégorie:Réalisateurs|réalisateur]] [[Buster Keaton]].<br>
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1903 : Mort de [[Otto Weininger]].<br>
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1940 : Après le « Premier statut sur les Juifs » lancé de la veille, une nouvelle loi d'exception est promulguée concernant « l'internement des étrangers d'origine juive » par décret administratif. « Les ressortissants étrangers de race juive » (que de périphrases pour ne pas dire simplement « les Juifs », puisque pour Vichy, bien avant 1942, c’était tous des étrangers) seront, selon le bon vouloir des préfets, enfermés immédiatement dans des camps d'internement dans le Sud de la France, où ils seront mêlés à ceux que les Allemands enverront d’Alsace, de Lorraine, de Belgique et qu’ils avaient déportés eux-mêmes. 40 000 Juifs étrangers seront ainsi claquemurés automatiquement sur décision préfectorale, par exemple à Agde, Gurs, Noé, Récébédou, Rivesaltes, Le Vernet… C'est la naissance des camps de concentration implantés en France, une première ! Et sans même que l’institution vichyste ait pu prévoir que bientôt en Pologne, les camps ne seraient pas seulement de concentration… Malgré cette courte-vue et cette absence d’anticipation propre à l’esprit français, il était clairement exprimé, par cette loi rédigée d’un jour à l’autre, que la volonté pétainiste que les Juifs soient distingués des autres étrangers était urgente.<br>
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1947 : Naissance du chanteur complètement con à minettes [[Julien Clerc]] (beaucoup plus à minettes que [[Claude François]], car celles de Julien sont à vocation intellectuelle à cause de ses paroliers [[Étienne Roda-Gil]] et [[Jean-Loup Dabadie]], deux faux intellectuels justement). Responsable, par la fascination qu'il exerçait sur lui, de la mort, à l'âge de 71 ans, de son frère, le [[:Catégorie:Journalistes|journaliste]] complètement con aussi [[Gérard Leclerc]], puisque c'est en voulant assister absolument à un énième concert inepte de Julien que Gérard a embarqué le 15 août 2023 de Loudun pour La Baule dans un petit avion pour venir plus vite écouter son frangin, et que le zinc s'est écrasé sur le chemin, comme on sait, et a fini dans la Loire (alors que son frère, ce sera dans la Gloire qu’il finira). Mort conne comme tout ce qu'ont fait les deux frères Leclerc. Dernier culot de Julien : honorer la mémoire de Gérard en maintenant quand même son concert, et en affirmant que Gérard n'aurait pas supporté qu’il ne chante pas ce soir-là… Ce soi-disant accident vient de loin, l'avion décollait en vérité de leur enfance… L’un était célèbre, et l’autre, tout le monde s’en foutait ; l’un était « beau », et l'autre ne l'était pas, mais tous les deux étaient pareillement stupides. Voilà pourquoi Gérard n'avait pas à être complexé, mais comment aurait-il pu le comprendre puisqu'il était aussi bête que Julien ? Ce sont des problèmes qu’un fils unique n'a pas à se poser.<br>
 
1950 : [[Louis-Ferdinand Céline]] envoie à sa secrétaire, Marie Canavaggia, les premières pages manuscrites de ''Féerie pour une autre fois''.<br>
 
1950 : [[Louis-Ferdinand Céline]] envoie à sa secrétaire, Marie Canavaggia, les premières pages manuscrites de ''Féerie pour une autre fois''.<br>
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1956 : Naissance de [[Jérôme Garcin]], [[:Catégorie:Journalistes|journaliste]] et critique littéraire, cinématographique et théâtral français. A sévi de très longues années dans le torchon bien-penseux ''L'Événement du jeudi'', puis est devenu meneur de jeu de l'émission ignoble ''Le Masque et la plume'' à la radio (France Inter). A bafoué, diffamé, dénigré ou carrément boycotté [[Marc-Édouard Nabe]] depuis son apparition en 1985 à ''[[Apostrophes]]''. Garcin l’a reconnu lui-même dans un article fameux sur Nabe, à l'occasion de la sortie de ''[[Coups d'épée dans l'eau]]'', une sorte de ''mea culpa'' publié dans ''Le Nouvel Observateur'' du 1<sup>er</sup> juillet 1999, intitulé « Un naïf byzantin », et illustré par une très belle photo de Nabe avec son père [[Marcel Zannini|Zanini]]. Jérôme Garcin n'écrivait-il pas : « Si l'on a la curiosité de comprendre la méprise dont [[Marc-Édouard Nabe]] continue de faire l'objet et la foi littéraire qu'il n'a jamais abdiquée, il faut lire ''[[Coups d'épée dans l'eau]]''… De cette confession parlée et fragmentée, on retient surtout l’histoire rebelle d’un écrivain gréco-turco-italiano-phocéen qui - c’est si rare de nos jours - a voué toute sa vie à son art. Un art qu’il entretient en compagnie de ceux dont, lyrique inconsolé, il n’en finit pas de faire l’éloge, parmi lesquels [[Oum Kalthoum|Oum Kalsoum]], [[André Suarès]], [[Jean Bois]], [[Count Basie]], [[Arthur Rimbaud|Rimbaud]], [[Louis-Ferdinand Céline|Céline]], [[Pablo Picasso|Picasso]], [[Gertrude Stein]], [[Orson Welles|Welles]], [[Duke Ellington]], [[Jean-Luc Godard|Godard]], [[Friedrich Wilhelm Murnau|Murnau]], [[Miguel de Cervantès|Cervantès]], [[Dominique de Roux]], [[Rainer Werner Fassbinder|Fassbinder]] et [[Pier Paolo Pasolini|Pasolini]]. Une liste à laquelle il convient d’ajouter Nabe soi-même, qui déteste ses contemporains, mais ne s’aime pas davantage et, une plume en guise de pertuisane, promène son donquichottisme au milieu des moulins et des ruines. » Et après ça, Garcin a fermé sa gueule pendant 25 ans, sans jamais reparler de Nabe, sans jamais donner envie de le lire ni de le découvrir, ni même sans jamais essayer de le défendre lorsqu'il était attaqué par les amis et les employés de Garcin… Pourquoi ? Mystère et boule de merde. Évoqué à de nombreuses reprises par [[Marc-Édouard Nabe|Nabe]] dans son ''[[:Catégorie:Journal intime|Journal]]'', et dans ''[[Nabe’s News]]'' (« [https://nabesnews.com/degueu-anniversaire-le-masque-et-la-plume/ Dégueu anniversaire ''Le masque et la plume'' !] », numéro 29, 11 septembre 2021).<br>
 
1982 : Mort du pianiste [[Glenn Gould]].<br>1985 : [[Marc-Édouard Nabe|Nabe]] et [[Hélène Hottiaux|Hélène]] rendent visite à [[Sam Woodyard]] malade à l’Hôtel-Dieu.<br>
 
1982 : Mort du pianiste [[Glenn Gould]].<br>1985 : [[Marc-Édouard Nabe|Nabe]] et [[Hélène Hottiaux|Hélène]] rendent visite à [[Sam Woodyard]] malade à l’Hôtel-Dieu.<br>
 
1986 : [[Marc-Édouard Nabe|Nabe]] récupère chez [[Marc Dachy]] un exemplaire du ''Gen Paul'' de Carlo A. Marca dont il a écrit la [[:Catégorie:Préface|préface]], ''[[La jambe]]''.<br>
 
1986 : [[Marc-Édouard Nabe|Nabe]] récupère chez [[Marc Dachy]] un exemplaire du ''Gen Paul'' de Carlo A. Marca dont il a écrit la [[:Catégorie:Préface|préface]], ''[[La jambe]]''.<br>
 
1988 : [[Marc-Édouard Nabe|Nabe]] et [[Hélène Hottiaux|Hélène]] atterrissent à Istanbul.<br>
 
1988 : [[Marc-Édouard Nabe|Nabe]] et [[Hélène Hottiaux|Hélène]] atterrissent à Istanbul.<br>
1999 : Suicide de [[Bernard Buffet]], peintre français.<br>
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1999 : Suicide de [[Bernard Buffet]].<br>
 
2010 : [[Marc-Édouard Nabe|Nabe]] enregistre une interview pour ''[https://www.youtube.com/watch?v=Rae-jkTalqY fluctuat.net]'' où il parle de [[Michel Houellebecq]].<br>
 
2010 : [[Marc-Édouard Nabe|Nabe]] enregistre une interview pour ''[https://www.youtube.com/watch?v=Rae-jkTalqY fluctuat.net]'' où il parle de [[Michel Houellebecq]].<br>

Version actuelle datée du 4 octobre 2023 à 23:38

1529 : Dernier jour du Colloque de Marbourg, qui avait commencé le 1er octobre au château de Marbourg (Allemagne). Réunion théologique organisée par Philippe Ier de Hesse, magnanime landgrave qui kiffait Martin Luther depuis qu’il l’avait rencontré ado. C’est à lui que Hesse doit sa conversion en 1524 au protestantisme. Par ce colloque, Hesse espérait unir toutes les forces réformées dans une alliance, plutôt politique que religieuse, pour vaincre les ennemis catholiques. Les grandes stars du protestantisme étaient là : Luther, Brenz, Osiander et Melanchton dans un premier groupe et Zwingli et Œcolampade, dans le second. L'objectif était de discuter âprement un « détail » de l’Histoire de la religion chrétienne afin de trouver une conciliation entre les partisans de la présence effective du corps et du sang du Christ lors de la Cène et ceux qui s’en tenaient à n'y voir que des symboles de son sacrifice sous forme de vin et de pain. Résultat : match nul. Une seconde rencontre entre les deux équipes aura lieu l'année suivante, en 1530, sous le nom de « Diète d'Augsbourg ».
1638 : Bataille de Wittstock entre Suédois et Allemands (victoire : Suédois).
1669 : Mort du peintre Rembrandt.
1693 : Bataille de La Marsaille entre Français et Espagnols (victoire : Français).
1777 : Bataille de Germantown entre Américains et Anglais (victoire : Anglais).
1814 : Naissance de Jean-François Millet, peintre français de l’École de Barbizon. Il serait resté considéré comme très mineur, en tout cas d'une facture primaire, et d’un univers extrêmement restreint, celui de paysans montrés à la tâche dans des crépuscules ou aurores bibliques, s’il n'avait pas trouvé sur sa route posthume d'abord l'admiration picturale de Vincent Van Gogh qui l’a « remaké » à de nombreuses reprises (il fallait voir l'exposition « Van Gogh au Borinage » à Mons en 2015), et plus tard celle de Salvador Dalí fasciné par Millet et en tirant une substantifique moelle métaphysique, jusqu'à faire de L'Angélus du Barbizonnais réaliste un mythe érotique, morbide, catholique et transcendantal. Jamais Millet avec ses semeurs, vanneurs, et autres glaneuses, n'aurait pu imaginer inspirer à la fois une touche aussi flamboyante que celle de Van Gogh et un esprit aussi délirant que celui de Dalí.
1895 : Naissance de l’acteur et réalisateur Buster Keaton.
1903 : Mort de Otto Weininger.
1940 : Après le « Premier statut sur les Juifs » lancé de la veille, une nouvelle loi d'exception est promulguée concernant « l'internement des étrangers d'origine juive » par décret administratif. « Les ressortissants étrangers de race juive » (que de périphrases pour ne pas dire simplement « les Juifs », puisque pour Vichy, bien avant 1942, c’était tous des étrangers) seront, selon le bon vouloir des préfets, enfermés immédiatement dans des camps d'internement dans le Sud de la France, où ils seront mêlés à ceux que les Allemands enverront d’Alsace, de Lorraine, de Belgique et qu’ils avaient déportés eux-mêmes. 40 000 Juifs étrangers seront ainsi claquemurés automatiquement sur décision préfectorale, par exemple à Agde, Gurs, Noé, Récébédou, Rivesaltes, Le Vernet… C'est la naissance des camps de concentration implantés en France, une première ! Et sans même que l’institution vichyste ait pu prévoir que bientôt en Pologne, les camps ne seraient pas seulement de concentration… Malgré cette courte-vue et cette absence d’anticipation propre à l’esprit français, il était clairement exprimé, par cette loi rédigée d’un jour à l’autre, que la volonté pétainiste que les Juifs soient distingués des autres étrangers était urgente.
1947 : Naissance du chanteur complètement con à minettes Julien Clerc (beaucoup plus à minettes que Claude François, car celles de Julien sont à vocation intellectuelle à cause de ses paroliers Étienne Roda-Gil et Jean-Loup Dabadie, deux faux intellectuels justement). Responsable, par la fascination qu'il exerçait sur lui, de la mort, à l'âge de 71 ans, de son frère, le journaliste complètement con aussi Gérard Leclerc, puisque c'est en voulant assister absolument à un énième concert inepte de Julien que Gérard a embarqué le 15 août 2023 de Loudun pour La Baule dans un petit avion pour venir plus vite écouter son frangin, et que le zinc s'est écrasé sur le chemin, comme on sait, et a fini dans la Loire (alors que son frère, ce sera dans la Gloire qu’il finira). Mort conne comme tout ce qu'ont fait les deux frères Leclerc. Dernier culot de Julien : honorer la mémoire de Gérard en maintenant quand même son concert, et en affirmant que Gérard n'aurait pas supporté qu’il ne chante pas ce soir-là… Ce soi-disant accident vient de loin, l'avion décollait en vérité de leur enfance… L’un était célèbre, et l’autre, tout le monde s’en foutait ; l’un était « beau », et l'autre ne l'était pas, mais tous les deux étaient pareillement stupides. Voilà pourquoi Gérard n'avait pas à être complexé, mais comment aurait-il pu le comprendre puisqu'il était aussi bête que Julien ? Ce sont des problèmes qu’un fils unique n'a pas à se poser.
1950 : Louis-Ferdinand Céline envoie à sa secrétaire, Marie Canavaggia, les premières pages manuscrites de Féerie pour une autre fois.
1956 : Naissance de Jérôme Garcin, journaliste et critique littéraire, cinématographique et théâtral français. A sévi de très longues années dans le torchon bien-penseux L'Événement du jeudi, puis est devenu meneur de jeu de l'émission ignoble Le Masque et la plume à la radio (France Inter). A bafoué, diffamé, dénigré ou carrément boycotté Marc-Édouard Nabe depuis son apparition en 1985 à Apostrophes. Garcin l’a reconnu lui-même dans un article fameux sur Nabe, à l'occasion de la sortie de Coups d'épée dans l'eau, une sorte de mea culpa publié dans Le Nouvel Observateur du 1er juillet 1999, intitulé « Un naïf byzantin », et illustré par une très belle photo de Nabe avec son père Zanini. Jérôme Garcin n'écrivait-il pas : « Si l'on a la curiosité de comprendre la méprise dont Marc-Édouard Nabe continue de faire l'objet et la foi littéraire qu'il n'a jamais abdiquée, il faut lire Coups d'épée dans l'eau… De cette confession parlée et fragmentée, on retient surtout l’histoire rebelle d’un écrivain gréco-turco-italiano-phocéen qui - c’est si rare de nos jours - a voué toute sa vie à son art. Un art qu’il entretient en compagnie de ceux dont, lyrique inconsolé, il n’en finit pas de faire l’éloge, parmi lesquels Oum Kalsoum, André Suarès, Jean Bois, Count Basie, Rimbaud, Céline, Picasso, Gertrude Stein, Welles, Duke Ellington, Godard, Murnau, Cervantès, Dominique de Roux, Fassbinder et Pasolini. Une liste à laquelle il convient d’ajouter Nabe soi-même, qui déteste ses contemporains, mais ne s’aime pas davantage et, une plume en guise de pertuisane, promène son donquichottisme au milieu des moulins et des ruines. » Et après ça, Garcin a fermé sa gueule pendant 25 ans, sans jamais reparler de Nabe, sans jamais donner envie de le lire ni de le découvrir, ni même sans jamais essayer de le défendre lorsqu'il était attaqué par les amis et les employés de Garcin… Pourquoi ? Mystère et boule de merde. Évoqué à de nombreuses reprises par Nabe dans son Journal, et dans Nabe’s News (« Dégueu anniversaire Le masque et la plume ! », numéro 29, 11 septembre 2021).
1982 : Mort du pianiste Glenn Gould.
1985 : Nabe et Hélène rendent visite à Sam Woodyard malade à l’Hôtel-Dieu.
1986 : Nabe récupère chez Marc Dachy un exemplaire du Gen Paul de Carlo A. Marca dont il a écrit la préface, La jambe.
1988 : Nabe et Hélène atterrissent à Istanbul.
1999 : Suicide de Bernard Buffet.
2010 : Nabe enregistre une interview pour fluctuat.net où il parle de Michel Houellebecq.