Yann Moix

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Yann Moix, 2019

Yann Moix est un écrivain, journaliste, cinéaste et documentariste français, auteur de chansons, chroniqueur (télévision et radio), né le 31 mars 1968 à Nevers.

Liens avec Marc-Édouard Nabe

Yann Moix s’infiltre en septembre 1991 au cocktail organisé à l’occasion de la publication du premier tome du journal intime de Marc-Édouard Nabe, Nabe’s Dream, mais échoue à le rencontrer. Durant son service militaire (1992 - 1993), Moix envoie plusieurs lettres d’admiration à Nabe, qui restent sans réponse. Vexé, il débute dans les lettres en attaquant son idole dans la revue de Bernard-Henri Lévy, La Règle du Jeu, en janvier 1994. Se ressaisissant, et finissant par rencontrer Nabe en 1996, Moix multipliera les critiques élogieuses, par oral ou par écrit, jusqu’au début des années 2000. En 1996, au moment de la sortie de son premier livre, Jubilations vers le ciel, Moix définit son style : « C’est entre Bernard-Henri Lévy et Marc-Édouard Nabe. La chemise de Bernard-Henri Lévy et le costume de Marc-Édouard Nabe. »

Grâce à sa proximité avec son écrivain-mentor, Moix fait la connaissance et se lie d’amitié avec Paul-Éric Blanrue et Alain Soral. Il participe même à deux reprises au mensuel de Nabe La Vérité, paru entre novembre 2003 et février 2004[1]. En octobre 2006, il entend rompre la relation avec Nabe en lui envoyant un SMS lapidaire : « Va te faire enculer », vexé par la reproduction en préface à Morceaux choisis de son texte de 1994 contre Nabe. Dans le premier tome des Porcs, Nabe explique qu’après ce SMS injurieux, Moix s’est ravisé dès mars 2007 disant avoir « manqué d’humour », et que la rupture entre eux a bien eu lieu définitivement, mais à l’initiative de Nabe, le 7 mai 2008, en représailles des propos « dégueulasses » que Moix avait tenus contre Céline dans une émission de Laurent Ruquier[2]. En 2015, alors qu’il est appelé par Laurent Ruquier, justement, à devenir chroniqueur dans On n’est pas couché, Yann Moix dans une interview des Inrockuptibles transformera les faits et la chronologie en expliquant avoir envoyé le SMS en 2007 (et non en 2006) pour se tenir à distance de l’écrivain qui commençait, selon lui, à se définir comme « un combattant contre Israël »[3] (l’antisionisme de Nabe est pourtant présent dès son premier livre Au régal des vermines et se retrouve dans le dernier livre publié aux Éditions du Rocher, J’enfonce le clou, tous deux encensés par Yann Moix, notamment dans le texte « Toute l’histoire d’Israël sur une seule page »).

En 2010, dans L’Homme qui arrêta d’écrire, Nabe met en scène Yann Moix, avec Christophe Ono-dit-Biot et Frédéric Beigbeder, en les imaginant se jetant sur un serveur du Train Bleu, qu’ils confondent avec Noël Godin, pour protéger Bernard-Henri Lévy, figure de Lucifer dans le roman, d’un nouvel « attentat pâtissier » de « L’Entarteur » belge :

« Je croise un serveur qui porte à bout de bras une belle tarte à la chantilly. Devant moi le chat Paulo passe rapidement entre les roues de la poussette. J’entends des cris derrière moi. Je me retourne. Ça se bouscule. Ça hurle : “Salaud, on le tient !” Une bagarre ? Ça en a tout l’air. Des types par terre, et des serveurs accourent. Affolements. Je rebrousse chemin. Heureusement, la petite dort. Rien ne la réveille. Je reviens au centre de la salle pour voir ce qui se passe. Grâce à ma poussette, je fais de la place. “Pardon, pardon !” On s’écarte. Je vois le serveur croisé à l’instant avec sa tarte, il est plaqué au sol. La tarte est écrasée près de lui. Il est secoué par Yann Moickx qui le soulève du sol en le traitant d’“enculé, je vais te crever”. Alors que d’un autre côté, Christophe O-no-dibio lui donne des gifles. Entre chaque gifle, Christophe recoiffe sa mèche de jeune salarié romantique mal rasé au Point. Et puis il y a encore Beigbeidé, lui, il est debout, il donne des coups de pied dans les côtes du serveur, en disant :
— Antisémite, fasciste, islamiste !
À trois ils s’y mettent pour tabasser un serveur du Train bleu.
— Mais qu’est-ce qu’il a fait ? demandé-je au journaliste à côté de moi.
— C’est l’entarteur, vous ne le reconnaissez pas ? Il allait encore envoyer une tarte sur Bernard-Henri Lévit. Heureusement, ces trois-là l’ont arrêté à temps.
— L’entarteur, ça ? m’exclamé-je en regardant l’homme roué de coups au sol... Mais non, ce n’est pas lui. Je suis formel, il ne s’agit pas de Noël Gaudin.
— Vous êtes sûr ? me demande le journaliste.
— Mais c’est évident.
D’ailleurs, je ne suis pas le seul à le dire. Les serveurs du buffet parviennent à raisonner les attaquants et relèvent leur collègue :
— C’est une erreur, c’est une erreur, dit l’un.
L’agressé lui-même, la tête en sang, et de la chantilly partout sur son costume, proteste :
— Je n’ai rien fait, je ne comprends pas.
C’est Moickx le plus difficile à calmer.
— Gloup, gloup, glapit-il. Je t’en foutrais, salopard belge, attaquer Bernard ![4] »

En 2014, dans « L’Eunuque raide », publié dans L’Infini, treize ans après « Mon meilleur ami », Nabe intègre Yann Moix dans son récit de trente-trois pages sur Stéphane Zagdanski, représenté en cadavre eunuque dans le « Cimetière des Amis pour la Vie ». Le texte est une transposition de la scène I de l’acte V de Hamlet de Shakespeare :

« Julien lui refila le crâne qu’il plaça dans sa paume tremblante...
— Mais... dit l’Eunuque. Cette grosse ossature cabossée, ce front bestial, cette mâchoire crispée... C’est lui, il n’y a pas de doute... Yann Moix !
— C’était un ami du Docteur ?
— Oui, enfin un fan qui s’est transformé en ami pour mieux ne plus être fan.
— Exactement comme toi, dit Toto. On connait ce genre de métamorphose classique.
L’Eunuque contemplait affectueusement le crâne de Yann...
— Hélas, pauvre Yann !... Je l’ai connu, Toto ! Au début on se méprisait et puis le Docteur nous a fait tant de mal qu’on s’est réconciliés. C’était le bouffon du roi de la Règle du Jeu. Il m’a invité à son séminaire sur Kafka... C’était un garçon d’une verve infinie, d’une fantaisie exquise... Dire que ce crâne contenait une langue qui pouvait être si bien pendue jadis. Oui, vraiment ! Et désormais cette tête est à Lady Vermine, elle n’a plus de lèvres... ces lèvres qui disaient tant de choses intelligentes... Moise ! Où sont tes paradoxes maintenant ? Où sont donc tes subtilités, tes arguties, tes approfondissements intellectuels, cher Yann ? Et ces éclairs de génie qui faisaient rugir d’extase les 14 spectateurs du cinéma Saint-Germain tous les dimanches matin ? Humph !
— Il est fayot même avec les têtes de mort ! dit Toto.
— Tu as raison ! se reprit L’Eunuque. Et puis, lui, c’est plutôt une tête de con.
Il respira la caboche de Moix.
— Et cette odeur-là... Pouah !
Il jeta le crâne dans une fosse pleine de boue.
— Tu hurleras dans l’abîme ![5] »

Dans une interview publiée en octobre 2018 sur Nabe’s News, Nabe révèle les chiffres de vente de Yann Moix[6] :

Marc-Édouard Nabe : Moix, Angot, ça ne leur fait pas vendre de livres, Moix ne vend rien. J’aimerais bien avoir les chiffres, je les aurai d’ailleurs, de sa « Lettre ouverte » à Macron. C’est pitoyable.
Docteur Marty : Quatre ou cinq mille exemplaires.
M.-É. N. : Mais même pas !
D. M. : C’est selon les chiffres mis en place.
M.-É. N. : Mais c’est faux à l’arrivée ! Son livre sur Michael Jackson, il en a vendu 800. On est loin des Porcs, vendus 1 500 exemplaires en un an, tout seul, sans aucune pub, à 50 euros. C’est quand même autre chose !
Couverture du premier numéro d'Ushoahia, dont l’existence a été révélée par Nabe dans Les Porcs (2017)

Fin août 2019, Jérôme Dupuis, dans L'Express, confirme une information révélée par Nabe dans Les Porcs, publié en mai 2017, à savoir que Yann Moix a publié des écrits et des dessins révisionnistes à la fin des années 1980 (« Bien renseigné, l'écrivain Marc-Édouard Nabe, dans un paragraphe de son livre auto-publié en 2017, Les Porcs 1, fait une brève allusion à l'existence d'Ushoahïa »)[7]. Dans le chapitre « ”Ushoahïa”, un inédit de Yann Moix » (pp. 220-222), Nabe écrit :

« Moix a toujours eu des velléités de dessinateur de BD... Peut-être s’était-il rêvé être, avant un sous-Nabe, un sous-Vuillemin ? Pourtant, le lourd petit plouc était doté d’un très mauvais trait de sous-doué dans ce domaine, comme dans tous les autres. En effet, dans sa jeunesse, Moix avait commis une bande dessinée qu’il eut la prudence de ne pas signer, mais l’imprudence de faire imprimer. Il n’avait pas mis son nom, le lâche, mais on reconnaissait très bien son écriture !... Plusieurs personnes en ont gardé un exemplaire, car il distribuait sa BD à Reims pendant ses années d’étudiant ; et pas d’excuses : il n’avait pas quatorze, ou quinze ans, Moix, lorsqu’il dessinait des cadavres de Juifs pour les salir. Il en avait vingt-deux !
Ushoahïa”, ça s’appelait... Une parodie d’Ushuaïa de Nicolas Hulot et de L’Île aux enfants. C’était des camps de concentration que les gens visitaient par “interrail”, Dachau, Buchenwald, Auschwitz, avec un Casimir à croix gammée qui torturait des Juifs. Les personnagaes pissaient sur les morceaux de cadavres en cendres à Auschwitz. Ça se terminait par Bernard-Henri Lévy qui était comme une merde au milieu d’un camp, entouré de mouches !
Je ne sais pas si le Grand Prêtre de La Règle du Jeu aurait apprécié le “talent exceptionnel” (sic) de ce Rastignac orléanais qui, à force de lécher son cul de “youtre” (le mot est dans Ushoahïa), était en train de devenir un de ses plus obséquieux larbins...[8] »

Le 2 septembre 2019, le numéro 22 de Nabe’s News est entièrement consacré à l’« affaire Moix » par une analyse fleuve du Docteur Marty, Le roman d’un menteur (qui sera en trois parties), une chronologie de la relation entre Marc-Édouard Nabe et Yann Moix[9]), la reproduction de treize chapitres du premier tome des Porcs[10], des témoignages de proches de Moix (Gabriel Nerciat[11], Frédéric Vignale[12], Gamal Abina[13]), le dossier de presse complet de son affaire et la plupart des vidéos à ce sujet.

Dans le numéro 30 de Nabe’s News, publié le 11 septembre 2021, « Docteur Marty » revient sur la sortie de Reims, suite directe à Orléans, dans un article intitulé « Moix (suite sans fin) ».

Dédicaces de Yann Moix à Marc-Édouard Nabe

Dedicace moix.png Dedicace moix-3.png Dedicace moix-2.png Dedicace Podium (2002).png

Plagiats choisis

Depuis le début de sa carrière (1994), Moix reprend à son compte des phrases écrites ou prononcées par Nabe, sans parler des sujets et idées, références et mêmes modèles de peinture et dessin. 

  • En 2004, dans Le Monde, Yann Moix déclare : « J'adore assassiner les gens quand j'écris. », ce qui rappelle le titre du premier chapitre d’Au régal des vermines, « L’allègre assassin de six milliards d’individus », ainsi que les propos tenus par Marc-Édouard Nabe dans Apostrophes le 15 février 1985 : « On tue quand on écrit. C’est ce que je vous expliquais sur mon Journal intime. On écrit, on tue. »
  • En janvier 2008, à l’occasion de la sortie de son livre Mort et vie d’Edith Stein, il affirme dans Esprit libre, émission culturelle présentée par Guillaume Durand : « Les trois choses qui me passionnent le plus dans la vie, c’est, dans le désordre, l’art, l’amour et la religion ». Une citation légèrement remaniée d’une phrase tirée de L’Âge du Christ, paru en 1992 : « À cet âge, je n’ai plus que trois obsessions : l’art, l’amour et la religion, dans le désordre. »[14]
  • En février 2010, Yann Moix donne un entretien au quotidien suisse Le Matin pour défendre Roman Polanski accusé d’avoir violé une mineure dans les années 70, et s’attaque aux Suisses qu’il traite de « mous salauds »[15]. La formule est la reprise du titre d’un article publié par Marc-Édouard Nabe en 1993 dans L’autre journal : « Le Mou-Salaud ».

Nabe MouSalaud.jpg Moix MousSalauds.png

  • En décembre 2011, lors d’un séminaire de la « Règle du jeu », revue fondée par Bernard-Henri Lévy, consacré à Kafka, il dit « Kafka n’est pas Jean-Loup Dabadie, mais Flaubert non plus », phrase qui ressemble à celle prononcée par Nabe en septembre 1984, lors de son premier Droit de Réponse : « Il s’appelle pas Jean-Loup Dabadie, Flaubert ! ».
  • En 2013, Yann Moix publie Naissance, un roman de plus de 1 100 pages. Pour Frédéric Beigbeder, le livre « rappelle Nabe's Dream, le journal intime de Marc-Edouard Nabe : on y trouve le même exhibitionnisme potache, certaines références similaires (notamment le jazz), la même paranoïa et une manière analogue d'étirer les scènes jusqu'au burlesque le plus hystérique. Un des pères spirituels du héros se nomme d'ailleurs Marc-Astolphe Oh »[16]. À l’occasion de la remise du prix Renaudot à Moix, Jérôme Dupuis prolonge l’opinion de Beigbeder : « À vrai dire, c'est tout Naissance qui semble inspiré par l'oeuvre de Nabe : le nom ridicule des personnages, l'obsession du jazz et de Ben Laden, le récit de la mise au monde, la figure de Swift... Mais, là où Nabe écrivait des livres excessifs, poignants, imparfaits et novateurs, Moix a donné naissance à un pavé mortellement ennuyeux. »[17]

Sans oublier l’activité « graphique » de Moix qui ne vient pas de nulle part.

Portraits de Yann Moix (en noir et blanc) à côté des portraits des mêmes artistes par Marc-Édouard Nabe (en couleur) : Artaud, Billie Holiday, Fassbinder, Jean Genet, Joyce, Sade, Proust, Rimbaud, Simone Weil (repris de Nabe’s News)

Citations

Moix sur Nabe

  • « Marc-Édouard Nabe est demeuré trente secondes le meilleur écrivain de sa génération. (...) Il s’est forgé un style à la douteuse paternité, une sorte de canevas, une grille d’écriture comme il existe des grilles de lecture, et depuis Au Régal, il laisse sa main de bronze enfiler les perles. (...) Changez Suarès par Bloy dans ses élégies, Jango Reinhardt par Hendrix : vous n’y verrez que du bronze. (...) Lorsque les vrais talents commencent une œuvre, ils s’embarquent pour Acapulco et partent suer des sueurs de sang. Nabe, lui, ouvre sa penderie où l’attend son style de « décrochez-moi ça », sa robe-prétexte, toutes ses manies d’écrivant déjà si démodé et transparent. De la verroterie qui se veut du cristal ciselé » (La Règle du jeu, janvier 1994)
  • « Une telle entreprise, dans un monde ou l'écrit s'évapore, à quelque chose de magnifique et de courageux. Le propre d'un journal ne serait-il pas de susciter l'évènement ? Nabe, lui, nabifie tout ce qu'il touche. À jamais. » (L’Événement du jeudi, 27 février 1997, au sujet de Inch’Allah)
  • « Qu'on aime Nabe ou qu'on le déteste, force est cependant de reconnaître une chose : il est dans la littérature. » (Marianne, 8 mars 1998)

Nabe sur Moix

  • « Moix, je le vois pour la première fois en 1997, il se pointe chez moi ventre à terre. [...] C'est un grand lèche-cul, c'est comme ça qu'il est arrivé où il est aujourd'hui. Maintenant, il veut se dégager de son passé soi-disant sulfureux. Moix savait qu'Alain Soral était Front national ou que Paul-Éric Blanrue était révisionniste. Blanrue, je lui ai présenté en 2001. Ils ne se sont plus quittés. » (Le Monde, « Yann Moix, le trouble trublion débarque chez Ruquier », 28 août 2015)
  • « En 1991, sans que je l’aie invité, Moix s’était infiltré dans une de mes fêtes pour la sortie de mon "Journal intime". Comme Houellebecq d’ailleurs. Ce jour-là, je ne les ai remarqués ni l’un ni l’autre tellement ils étaient insignifiants. A mes yeux, Moix est un arriviste sans envergure, un escroc plagiaire qui bénéficie d’une indulgence incompréhensible. » (Les Inrocks, « Mais qui est Yann Moix, le nouveau chroniqueur d’“On n’est pas couché” ? », 29 septembre 2015)
  • « Moix aussi était né du Régal. Il était sorti de cette corne d’abondance ; de ma chatte de douleur, j’ai accouché sans trop pousser de monstres, de mongoloïdes, d’amputés de l’utérus, de siamois, de nains, d’hydrocéphales, de thalidomides, surtout, il leur manque des bouts de membres, de bras, la main directement collée à l’épaule, etc. Mais le plus spécimen des ratés de mon accouchement, c’est Moix ! Il avait tout : mi-nain, mi-mongolien, pas de bras longs, un peu androgynes sur les bords (parce que sans couilles) et boiteux (ce qui l’empêcherait toujours d’aller très loin dans la vie) et la main directement collée à l’épaule, mais à l’épaule de l’autre. » (Les Porcs tome 1, 2017, p. 148)
  • « Yann Moix, je l’ai présenté à Paul-Éric Blanrue en 2001, il n’était pas le Moix qu’on connaît aujourd’hui. C’était encore un petit jeune homme littéraire, qui avait la prétention de devenir écrivain dans le milieu tout en se frottant à des gens un peu subversifs pour se donner des frissons. Ça n’avait rien à voir avec le Moix qui est devenu le Moix. » (« Porcs in progress », Youtube, 13 novembre 2017)

Collaboration

Article sur Charles Péguy
  • « Culture et intelligence », La Vérité (février 2004)
Article co-signé avec Charles Péguy

Intégration littéraire

Notes et références

  1. « Yann Moix : “Yann Moix écrit des livres. Yann Moix lit Péguy. Il lit Péguy en Pléiade...” Il a même écrit un article sur Péguy dans le numéro trois de La Vérité, de Marc-Edouard Nabe. » : Patrick Besson, « Quel “Bordel” ! », Le Point n°1640, 19 février 2004, p. 103.
  2. Marc-Édouard Nabe, « La rupture avec Moix », Les Porcs tome 1, anti-édité, 2017, p. 618
  3. Fanny Marlier, « Mais qui est Yann Moix, le nouveau chroniqueur d’“On n’est pas couché” ? », lesinrocks.com, 29 septembre 2015 ; lire : https://www.lesinrocks.com/2015/09/29/actualite/actualite/mais-qui-est-yann-moix-le-nouveau-chroniqueur-don-nest-pas-couche/
  4. Marc-Édouard Nabe, L’Homme qui arrêta d’écrire, anti-édité, 2010, pp. 278-279
  5. Marc-Édouard Nabe, « L’Eunuque raide », L’Infini n°126, printemps 2014, pp. 90-91.
  6. « Poutinien sur presque tout », Nabe’s News n°17, 12 octobre 2018, lire : http://www.nabesnews.com/frederic-taddei-poutinien-sur-presque-tout/
  7. Jérôme Dupuis, « Quand Yann Moix publiait dans un journal antisémite », L'Express, 26 août 2019, lire : https://www.lexpress.fr/culture/quand-yann-moix-publiait-dans-un-journal-antisemite_2095721.amp.html
  8. Marc-Édouard Nabe, Chapitre LXVII « Ushoahïa, un inédit de Yann Moix », Les Porcs tome 1, anti-édité, 2017, pp. 201-202.
  9. « Docteur Marty », « Chronologie Nabe/Moix », Nabe’s News n°22, 2 septembre 2019, lire : http://www.nabesnews.com/chronologie-nabe-moix/
  10. « sa relation avec Poelvoorde », lire : http://www.nabesnews.com/sa-relation-avec-poelvoorde/ ; « Moix antisémite », lire : http://www.nabesnews.com/moix-antisemite/ ; « Son admiration pour Nabe », lire : http://www.nabesnews.com/son-admiration-pour-nabe/ ; « Pourquoi Moix a préfacé le livre de Blanrue contre les Juifs », lire : http://www.nabesnews.com/pourquoi-moix-a-preface-le-livre-de-blanrue-contre-les-juifs/ ; « Quand et comment Moix et Blanrue se sont connus », lire : http://www.nabesnews.com/quand-et-comment-moix-et-blanrue-se-sont-connus/ ; « Le scoop d’Ushoahïa dès 2017 », lire : http://www.nabesnews.com/le-scoop-dushoahia-des-2017/ ; « Moix et Israël », lire : http://www.nabesnews.com/moix-et-israel/ ; « Son amitié à tendance homosexuelle (à peine voilée) avec Paul-Éric Blanrue », lire : http://www.nabesnews.com/son-amitie-a-tendance-homosexuelle-a-peine-voilee-avec-paul-eric-blanrue/ ; « Sa fréquentation de Soral », lire : http://www.nabesnews.com/sa-frequentation-de-soral/ ; « La rupture avec Nabe (la vraie histoire) », lire : http://www.nabesnews.com/la-rupture-avec-nabe-la-vraie-histoire/ ; « Sur son Claude François », lire : http://www.nabesnews.com/sur-son-claude-francois/ ; « Sur sa relation à Jean-Paul Enthoven », lire : http://www.nabesnews.com/sur-sa-relation-a-jean-paul-enthoven/ ; « Moix ne reconnaît pas Rimbaud », lire : http://www.nabesnews.com/moix-ne-reconnait-pas-rimbaud/
  11. lire : http://www.nabesnews.com/temoignage-sur-moix-par-gabriel-nerciat/
  12. lire : http://www.nabesnews.com/temoignage-sur-moix-par-frederic-vignale/
  13. Lire : http://www.nabesnews.com/temoignage-de-gamal-abina/
  14. Marc-Édouard Nabe, L’Âge du Christ, Éditions du Rocher, 1992, p. 9
  15. Renaud Malik, « Les Suisses sont des mous salauds », Le Matin, 2 février 2010, pp. 8-9.
  16. Frédéric Beigbeder, « Ecrire pour éclore », Le Figaro Magazine, 20 septembre 2013, p. 117, lire : http://www.lefigaro.fr/livres/2013/09/18/03005-20130918ARTFIG00419-ecrire-pour-eclore.php
  17. . Jérôme Dupuis, « Le prix Renaudot? Moix, Moix, Moix », L’Express, 13 novembre 2013, lire : https://www.lexpress.fr/culture/livre/le-prix-renaudot-moix-moix-moix_1299018.html